Sa vie, son parcours
Hiroo Mochizuki est né le 21 mars 1936 à Shizuoka au Japon.
Il n'a que deux ans quand son père, Me Minoru Mochizuki, est muté en Mongolie où il débute le Kendo sous sa direction.
Dès leur retour à Shizuoka, en 1947, il complète sa formation en apprenant l'Aïkido et le Judo dans le dojo de son père fraichement reconstruit.
Il a la chance et l'honneur, dès le début des annèes 50, de pouvoir apprendre l'Aikido directement sous la direction de Me Morihei Ueshiba, le fondateur de la discipline.
Il entre à l'université vétérinaire de Tokyo en 1954 où il consacre son temps libre à l'apprentissage du Karaté Shotokan et du Judo mais, en 1957, il est obligé d'interrompre ses études pour partir en France aider un élève et ami de son père, Jim Alcheik, à développer les arts martiaux de l'école Yoseikan. Il y enseigne notamment le Judo, l'Aikido et le Karaté Shotokan qu'il enseignera quelques années chez Henry Plée. Lors de son séjour, il découvre et pratique la boxe française qui l'influencera beaucoup.
Dès leur retour à Shizuoka, en 1947, il complète sa formation en apprenant l'Aïkido et le Judo dans le dojo de son père fraichement reconstruit.
Il a la chance et l'honneur, dès le début des annèes 50, de pouvoir apprendre l'Aikido directement sous la direction de Me Morihei Ueshiba, le fondateur de la discipline.
Il entre à l'université vétérinaire de Tokyo en 1954 où il consacre son temps libre à l'apprentissage du Karaté Shotokan et du Judo mais, en 1957, il est obligé d'interrompre ses études pour partir en France aider un élève et ami de son père, Jim Alcheik, à développer les arts martiaux de l'école Yoseikan. Il y enseigne notamment le Judo, l'Aikido et le Karaté Shotokan qu'il enseignera quelques années chez Henry Plée. Lors de son séjour, il découvre et pratique la boxe française qui l'influencera beaucoup.
En 1958, il fit une démonstration très remarquée d’Aikido ä Genève. L’Aikijutsu (Aikido de Me Minoru Mochizuki) fut alors introduite au Shung Do Kwan de Genève, menée par Me Kondo.
Il rentre au Japon en 1959 pour terminer ses études de vétérinaire à l'université de Tokyo, et enrichit sa pratique du Karaté Wado Ryu (étudié auprès des Maîtres Hironori Ohtsuka et Shinji Michihara), mais également de la boxe anglaise.
Il rentre au Japon en 1959 pour terminer ses études de vétérinaire à l'université de Tokyo, et enrichit sa pratique du Karaté Wado Ryu (étudié auprès des Maîtres Hironori Ohtsuka et Shinji Michihara), mais également de la boxe anglaise.
Suite au décès accidentel de Jim Alcheik en 1963, Hiroo est de nouveau envoyé par son père en France.
Il y enseigne l'Aïkido et introduit le Karaté Wado ryu en Europe.
En 1964 il participe,à l'instigation de son ami, l'écrivain Daniel Zimmermann, à la création de la Fédération française de karaté et disciplines associées et de l'Union Européenne de Karaté dont il sera le premier conseiller technique.
Lui qui devait ne faire qu'un passage, restera finalement en France définitivement.
En 1964 il participe,à l'instigation de son ami, l'écrivain Daniel Zimmermann, à la création de la Fédération française de karaté et disciplines associées et de l'Union Européenne de Karaté dont il sera le premier conseiller technique.
Lui qui devait ne faire qu'un passage, restera finalement en France définitivement.
C'est en 1967 qu'il commence à entrevoir la possibilité de création d'un nouvel art martial basé sur l'onde de choc, idée qui continuera de murir durant les années suivantes...
Pendant ce temps en Suisse en 1970, l’Aikido de l’école Mochizuki continue de se développer, notamment grâce au travail du Directeur technique Suisse, monsieur Jean-Claude Udrissard. La section Aikijutsu de Genève est elle reprise par Me Haruyoshi Watanabe, élève direct de Me Minoru Mochizuki.
Pendant l'été 1971 Maurice Penseyres, déjà 1er Dan, et Ernst Escher suivent un stage d'Aikido Mochizuki sous la direction de Monsieur Udrisard à Montreux qu’ils ne quitteront plus.
A l’automne 1972, lors d’un nouveau stage d’Hiroo Mochizuki Sensei à Montreux, ce dernier explique explicitement pour la première fois en Suisse son idée/système de mouvement de hanche, d'onde de choc avec laquelle selon la distance et la vitesse il est possible de réunir en tronc commun les divers arts martiaux, ce qui enchante tout le public présent. Il appelle ce nouvel Art Martial « Yoseikan Budo », en hommage au nom du dojo de son père.
Pendant ce temps en Suisse en 1970, l’Aikido de l’école Mochizuki continue de se développer, notamment grâce au travail du Directeur technique Suisse, monsieur Jean-Claude Udrissard. La section Aikijutsu de Genève est elle reprise par Me Haruyoshi Watanabe, élève direct de Me Minoru Mochizuki.
Pendant l'été 1971 Maurice Penseyres, déjà 1er Dan, et Ernst Escher suivent un stage d'Aikido Mochizuki sous la direction de Monsieur Udrisard à Montreux qu’ils ne quitteront plus.
A l’automne 1972, lors d’un nouveau stage d’Hiroo Mochizuki Sensei à Montreux, ce dernier explique explicitement pour la première fois en Suisse son idée/système de mouvement de hanche, d'onde de choc avec laquelle selon la distance et la vitesse il est possible de réunir en tronc commun les divers arts martiaux, ce qui enchante tout le public présent. Il appelle ce nouvel Art Martial « Yoseikan Budo », en hommage au nom du dojo de son père.
Hiroo Mochizuki crée alors coup sur coup la Fédération Française de Yoseikan Budo (1975), puis le Centre International du Yoseikan Budo (1978).
De son côté, la première Fédération Suisse de Yoseikan Budo voit le jour à Genève en 1976, à l’initiative de monsieur Udrisard. Il est tout naturellement élu comme le premier Directeur Technique de la FSYB, avec comme aide messieurs Penseyres et Escher élus dans la Commission Technique.
Pendant les années septantes et quatre-vingts monsieur Udrisard continue de développer le Yoseikan Budo en Suisse Romande et commence à confier quelques clubs à monsieur Penseyres, dont celui de Genève qu’il s’occupera avec l’aide monsieur Duc Nguyen (qui pratiquait déjà l’aikijutsu avec Me Watanabe).
Pendant ce temps, monsieur Escher lui s’occupe du développement en Suisse alémanique.
En 1984 l'Assemblée Générale de la FSYB élit monsieur Escher en tant que son nouveau Directeur Technique, successeur de Monsieur Udrisard, poste qu’il occupera jusqu’en 1997.
En 1997, la Yoseikan World Federation voit le jour, la même année où monsieur Penseyres Maurice prend la succession de monsieur Escher à la direction technique de la Fédération Suisse.
De son côté, la première Fédération Suisse de Yoseikan Budo voit le jour à Genève en 1976, à l’initiative de monsieur Udrisard. Il est tout naturellement élu comme le premier Directeur Technique de la FSYB, avec comme aide messieurs Penseyres et Escher élus dans la Commission Technique.
Pendant les années septantes et quatre-vingts monsieur Udrisard continue de développer le Yoseikan Budo en Suisse Romande et commence à confier quelques clubs à monsieur Penseyres, dont celui de Genève qu’il s’occupera avec l’aide monsieur Duc Nguyen (qui pratiquait déjà l’aikijutsu avec Me Watanabe).
Pendant ce temps, monsieur Escher lui s’occupe du développement en Suisse alémanique.
En 1984 l'Assemblée Générale de la FSYB élit monsieur Escher en tant que son nouveau Directeur Technique, successeur de Monsieur Udrisard, poste qu’il occupera jusqu’en 1997.
En 1997, la Yoseikan World Federation voit le jour, la même année où monsieur Penseyres Maurice prend la succession de monsieur Escher à la direction technique de la Fédération Suisse.
En 2000, Hiroo reçoit, lors d'une cérémonie officielle, des mains de son père le titre de Soke de l'école Yoseikan (la direction de tous les dojos Yoseikan du monde.)
Son père passera les dernières années de sa vie en France, auprès de sa famille.
Son père passera les dernières années de sa vie en France, auprès de sa famille.
A ce jour, Hiroo Mochizuki Sensei possède les grades de :
- 10 ème dan de Karaté
- 8 ème dan d'Aïkido
- 8 ème dan de Ju-Jitsu
- 7 ème dan de Iaïdo
- 3 ème dan de Kobudo
- 3 ème dan de Judo